Eglise Le Cep

L’automne une saison bien remplie

Nous moissonnons, préparons la nourriture et les provisions pour l’hiver, les enfants retournent en classe…C’est un temps d’apprentissage.

Aujourd’hui, on entend souvent dire dans le monde qui nous entoure : « on ne reconnaît plus les saisons, il n’y a plus de saisons»

Notre vie spirituelle est parfois similaire, on se laisse déstabiliser par les événements de la vie

A l’automne, on peut ressentir certaines émotions notamment la tristesse, l’appréhension, qui peuvent être parfois accompagnées de la sensation d’être épuisé sur le plan émotionnel.

Nous traversons la vie en surmontant chaque étape du mieux que nous le pouvons.

Dans cet automne du royaume de Dieu, nous devrions nous préoccuper d’apprendre tout ce que nous pouvons de la Parole de Dieu afin de nous préparer pour les durs mois d’hiver à venir.

La Parole de Dieu nous rappelle qu’il y a un temps pour tout!

« Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux: un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté; …un temps pour pleurer, et un temps pour rire; un temps pour se lamenter,… un temps pour se taire, et un temps pour parler; un temps pour aimer,… » (Ecclésiaste 3:1-8)

Bien souvent, nous sommes impatients et vivons très mal ces transitions. Nous ne les acceptons pas et risquons de passer par la déprime, nous nous révoltons parfois contre Dieu, tandis que d’autres fois, nous nous confions en l’Eternel.

N’oublions pas les moments de joie, d’exaucement, que le Seigneur nous a accordés, louons-le pour tout ce qu’Il a fait.

Rappelons-nous que nous ne sommes pas seuls, Dieu nous tient dans sa main à chaque saison de notre vie sur cette terre.

« Ne crains rien, car je suis avec toi; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante. » (Esaïe 41:10)

Martine L.

Sortons du découragement

Dans cette période de pandémie beaucoup se laissent aller au découragement !

Oui on peut en avoir marre parfois… Mais j’ai une bonne nouvelle pour vous, même si vous passez par ces moments difficiles : le Seigneur est là, il ne vous abandonnera pas, il l’a promis dans sa parole.

Josué 1/5 : « Je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point »

Hébreux 13/5 : « je ne te laisserai pas ; non je ne t’abandonnerai jamais »

Deutéronome 31/6 : « Fortifiez-vous et ayez du courage ! Ne craignez point et ne soyez point effrayés devant eux ; car l’Eternel, ton Dieu, marchera lui-même avec toi, il ne te délaissera point, il ne t’abandonnera point »

Dieu a promis de ne point nous abandonner et il tiendra sa promesse !

On a trop souvent tendance à dire que la présence de Dieu est plus avec certains qu’avec d’autres, que certains sont plus saints, prient plus…c’est comme si on disait que la présence de Dieu dépendait de nous… alors que la présence de Dieu avec nous est inconditionnelle.

Matthieu 28/20 : « voici je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde »

On peut être découragé à cause de problèmes liés à nous-mêmes – problèmes de santé, découragement au travail… mais aussi à cause de l’attitude des autres. Et c’est parfois ce qui nous cause le plus de découragement. Souvent, les lacunes des autres nous hérissent tellement que nous ne pensons même pas à prier pour eux. Et peut-être nous faut-il admettre que nous ne pouvons améliorer leur comportement. Alors nous commencerons à prier avec amour pour eux.

Quoi de plus réconfortant que de recevoir les promesses de Dieu et l’assurance que dans notre chemin difficile, notre foi en Christ nous permettra de ne pas nous laisser submerger par le découragement.

J’aime beaucoup lire Hébreux 12 versets 2 et 3 dans la version Parole Vivante : « Gardons les yeux fixés sur Jésus ; dans cette course de la foi, il est notre chef de file et nous mènera au but. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a affronté la mort sur la croix, sans tenir compte de la honte attachée à un tel supplice, et il siège désormais à la droite de Dieu. »

Pensez à la lutte opiniâtre qu’il a eu à soutenir contre des hommes pécheurs, à la manière dont il a supporté leur hostilité, et ne vous laissez pas abattre par le découragement.

Martine L.

Suivre Jésus de loin ou s’attaché à lui ?

On parle de « suivre Jésus »et c’est une bonne chose pour notre vie, mais il y a une dimension plus grande à atteindre dans notre relation avec notre Dieu : c’est être attaché à lui. « Je m’attache à toi pour te suivre »

Prenons une illustration de la vie courante : Une voiture peut suivre une autre voiture, mais à un carrefour, la première peut tourner et l’autre continuer tout droit. Mais si une remorque est attachée à une voiture, elle ira toujours dans la même direction que la voiture à laquelle elle est attachée. Au carrefour de la tentation ou de la séduction ou du découragement, si je suis Jésus sans être fermement attachée à lui, je pourrai prendre un autre chemin : celui du doute, de la révolte, du péché ou de l’abandon. Mais si je suis attachée à lui de tout mon cœur les yeux fixés sur la vérité de sa parole et sur ses promesses, alors je continuerai à marcher sur son chemin de paix et de victoire.

• Si je suis attachée à Jésus, je serrerai sa parole dans mon cœur et il me gardera des influences du monde et des accusations du diable. « Je serre ta parole dans mon cœur afin de ne pas pécher contre toi » Psaumes 119 v 11

• Si je suis attachée à lui, alors mon cœur, mon âme et mon esprit trouveront leur bonheur à l’écouter et à le servir, à lui obéir en toutes choses et « ses commandements ne seront pas pénibles » mes pensées seront inspirées par son Esprit et non par la chair. « Marchez selon l’Esprit et vous n’accomplirez pas les œuvres de la chair » Galates 5 v 16 Et je pourrai dire, « Un jour dans tes parvis vaut mieux que mille ailleurs » Psaumes 84 v 11

• Si je suis attachée à mon Bon Berger, « je ne manquerai de rien » Si je le suis de près, « il me conduit dans les sentiers de la justice » Psaumes 23

Une autre illustration : En montagne, lors de l’ascension vers un sommet, le chemin est abrupt et dangereux; on doit alors former une cordée. Le guide est devant, s’attache à une corde et tous les suivants s’attachent à cette corde, les uns derrières les autres. Ils sont reliés au guide et reliés ensemble.

• Le guide conduit les autres, car il connait la voie pour arriver en haut.

• Il entraine et tire ceux qui ont du mal à avancer à cause de la fatigue, de la difficulté du parcours et de la longueur de la voie.

• Il assure, protège les suivants de la chute en les retenant. Si l’un d’eux trébuche et perd pied, il sera retenu et ne dévissera pas en bas. Il pourra être tiré par les autres et retrouver ses appuis.

La cordée peut représenter la communion fraternelle, mais si Jésus n’est pas le « premier de cordée » alors, toute la cordée peut s’égarer ou tomber dans le ravin.

Prions : Seigneur je veux me tenir très près de toi et de ta parole, afin de ne pas m’égarer et de ne pas tomber, car je veux te suivre jusqu’au bout.

Voici un témoignage personnel : Un jour, je ressentais un grand découragement par rapport à une situation particulière dans ma vie. Je priais le Seigneur assise, la tête baissée, et lui demandais de l’aide dans cette situation. Puis j’ai relevé la tête et Dieu m’a donné une vision : J’ai vu Jésus, marchant devant moi, alors que je gravissais la montagne. Je L’ai vu de dos, j’ai vu a tunique tissée, tout près devant moi. J’ai alors compris qu’Il voulait me montrer que je n’étais pas seule sur ce chemin abrupt, qu’Il était là comme mon guide et mon protecteur et qu’Il me tirait en avant pour continuer d’avancer. J’ai été fortement encouragée par cette vision de mon Sauveur marchant tout près de moi, m’ouvrant le chemin et me tirant derrière lui. Gloire à Dieu ! Quelle grâce de savoir que notre Dieu est si proche.

Autres références sur le même thème :

Deutéronome 13 v 9 « C’est à l’Eternel seul que vous rendrez un culte, c’est à Lui seul que vous vous attacherez »

Actes 11 v 23 « Barnabas encouragea les fidèles à rester, d’un cœur résolu, tous attachés au Seigneur »

Actes 13 v 43 « Paul et Barnabas les encourageaient à rester attachés à la grâce de Dieu »

1 Corinthiens 6 v 17 « Celui qui s’attache au Seigneur est avec lui un seul Esprit. »

Romains 8 v 14 « Ceux qui sont conduits par l’esprit de Dieu sont fils de Dieu »

Jean 15 v 4 « Un sarment ne saurait de lui-même porter du fruit sans demeurer attaché au cep »

Romains 8 v 38 Nous donne une promesse certaine si nous sommes attachés à Christ.

« Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, ni les choses présentes ou à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature… Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur » Amen !

Emmanuelle B.

Où est ton frère ?

« Où es-tu ? » « Où est ton frère ? » (livre de la Genèse)

Questions que l’Eternel a posées à Adam et à son fils Caïn après qu’ils eurent décidé de ne plus suivre le conseil de Dieu.

Où en es-tu et où en est ton frère, ta soeur, t’intéresses-tu à ton salut et à celui des autres ? Telle peut être la question de confiance que Dieu nous adresse aujourd’hui envers notre famille-l’église.

« J’ai eu peur, je me suis caché » dit Adam, « Je ne suis pas le gardien de mon frère » dit Caïn et « je vais fuir loin de ton regard ». Ces deux hommes ont donc perdu la confiance qu’ils avaient en Dieu et dans le projet de Dieu pour eux.« Ayez foi en Dieu » dit Jésus. Avoir confiance en Dieu, en son église et en mon frère ou ma soeur, tel est le principe de l’évangile. Gardons-nous de fuir la mission que Jésus adresse à chacun.

La confiance dans les autres : c’est ce que j’exerce tous les jours en empruntant la route, en allant chez le médecin, en fréquentant les magasins, dans mon travail. Pourtant ma déception face aux chauffards de la route, aux erreurs médicales et au danger (semble-t-il) de la foule lorsque je fais mes achats, je continue malgré tout de fréquenter ces endroits sans perdre confiance. Pourquoi n’en serait-il pas de même envers l’amour de Jésus et de son corps qui est l’église ?

Je n’ai plus confiance en l’église alors je me cache et je fuis…Réaction adamique où l’on reconnait bien l’oeuvre de l’ennemi face à l’enjeu, au défi et au privilège que Dieu nous offre pour notre bien. Restons déterminés à grandir en maturité et en sagesse, en abandonnant les réactions du passé. Fréquenter l’église est un sacrifice, une mort à soi-même, un acte de reconnaissance et d’obéissance qui honore notre Seigneur et nous permet d’étendre le Royaume de Dieu.

Alain J.

La présence inconsciente de Dieu

Au début, Jacob ne ressentait rien. Il venait de quitter la maison et fuyait son frère Esaü qui était déterminé à le tuer. Jacob savait qu’il avait tout fait de travers. Où était Dieu dans tout ça ?

Jacob a atteint un certain endroit. Il n’a rien senti lorsqu’il est arrivé là-bas. Il était fatigué et effrayé. N’attendant absolument rien, il prit une pierre comme oreiller, la mit sous sa tête et se coucha pour dormir. Et puis Dieu est intervenu – avec un rêve.

La présence inconsciente de Dieu signifie seulement que nous ne ressentons rien quand il est présent. Sa présence est très réelle, vraiment très réelle. Mais le ressenti de sa présence nous est caché. Nous ne ressentons rien du tout, mais il est là autant que lorsque nous le sentons.

Nous devons nous en souvenir dans tous les aspects de nos vies. Il est vrai lorsque nous faisons des erreurs et que nos amis les plus proches, ou nos proches ne nous comprennent pas vraiment ou nous rejettent.

Nous devons honorer Dieu quand nous ne ressentons rien. Nous devons l’ adorer quand nous sommes fatigués et effrayés. Dans notre moment le plus faible ? Oui, même dans notre moment le plus embarrassant, lorsque nous estimons avoir tout fait de travers et rien de bien ! Dieu est absolument là.

Marie-Ange L.

L’appartenance

Ainsi parle […] celui qui est ton soutien: Ne crains rien, mon serviteur […] que j’ai choisi. Ésaïe 44.2

J’étais rentré tard la veille, comme tous les samedis soir. Je n’avais alors que 20 ans, et je fuyais Dieu aussi vite que je le pouvais. Soudain, je me suis toutefois senti poussé à fréquenter l’église où mon père était pasteur. J’ai alors revêtu mon jeans décoloré, un t-shirt usé et des chaussures montantes que je n’avais pas lacées, avant de traverser la ville en voiture.

Je ne me rappelle pas le sermon que mon père a prêché ce jour-là, mais je n’oublierai jamais à quel point il était ravi de me voir. Avec son bras autour de mon épaule, il m’a présenté à tous ceux qu’il voyait. «C’est mon fils !» leur disait-il avec fierté. Sa joie est devenue pour moi l’image même de l’amour de Dieu, qui m’est restée durant toutes ces décennies.

L’illustration de Dieu en tant que Père bienveillant apparaît dans toute la Bible. Dans Ésaïe 44, le prophète interrompt une série de mises en garde pour proclamer le message de Dieu relatif à l’amour familial: «Mon Israël, que j’ai choisi […] je répandrai mon esprit sur ta face, et ma bénédiction sur tes rejetons» (v.2,3). Ésaïe a fait remarquer en quoi la réponse de cette descendance allait démontrer la fierté familiale: «Celui-ci dira: Je suis à l’Éternel […] cet autre écrira de sa main: à l’Éternel !» (v. 5.)

Le peuple errant d’Israël appartenait à Dieu, au même titre que j’appartiens à mon père adoptif. Rien de ce que je pourrais faire ne pourrait l’amener à perdre son amour pour moi. Il m’a donné un aperçu de l’amour que notre Père céleste nous voue. — (Texte de Timothy Gustafson)

Son amour nous procure l’appartenance et l’identité tant désirées.

Texte proposé par Sabrina K.

Il est doux de demeurer ensemble

Je ne sais pas si vous avez déjà vécu, un temps d’échange avec un frère ou une sœur, où à l’issu de cet échange, vous êtes senti vidé comme vampirisé. C’est comme si la personne avait tellement de rancœur et d’amertume, qu’elle ne sait pas faire autrement que de tout balancer, avec un tel besoin de se vider et en même temps un tel besoin d’amour, qu’elle t’arrache de force ton amour fraternel.

Parfois nous portons tellement de mauvaises choses dans notre cœur, que nous sommes rendu handicapé du cœur. Notre cœur boite !

Je crois que nous avons régulièrement à mener ce combat fondamental, aimer et être aimé vraiment. L’ennemi cherche inlassablement à nous voler, nous diviser et détruire les relations. Les relations fraternelles nécessitent beaucoup de persévérance, de soin et de patience.

« C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres que l’on verra que vous êtes mes disciples. »
« Aime ton prochain comme toi-même. »
« Comment peux tu dire que tu aime Dieu que tu ne vois si tu ne peux pas aimer ton frère que tu vois. »

Pour moi il y a trois armes principales pour détruire le mal,

lorsqu’il essaye d’envahir notre cœur : la première arme c’est le pardon, la deuxième : l’amour de Dieu et la troisième : le sacrifice.

Le pardon : c’est la grâce ou la bienveillance, c’est aussi redonner sa chance encore et encore indéfiniment. On fait comme Dieu avec nous, on pardonne toujours, autant de fois que nécessaire, sans discutions, sans négociation. Pardonner comme si en le faisant vous détruisiez le mal qui vous a été fait. Dieu guérit, libère, restaure, nous on pardonne. Dieu jugera chacun en son temps, Dieu fait justice, nous on pardonne.

L’amour de Dieu : vivre et grandir dans cette relation d’amour parfait est le cœur de la solution. Dieu lui-même, son amour pour nous : nous remplit, nous donne notre valeur, donne du sens à notre existence, efface nos peurs, libère de l’orgueil … répare notre cœur et forme en nous le véritable amour pour nos frères et sœurs. Passons le plus de temps possible avec lui.

Le sacrifice : c’est l’antidote contre l’égoïsme et l’individualisme, prendre de ce que j’ai et le donner à d’autre. Sacrifier de mon temps, de mon argent et de mes biens, voilà comment nous pouvons grandir dans l’amour en action. En même temps cela fait reculer la détresse, la souffrance et la solitude dans la vie de notre prochain.

Je crois que nous aspirons tous à vivre des temps fraternels bienfaisant, où nous pouvons tour à tour donner et recevoir : de l’écoute, des encouragements, de la reconnaissance, du respect … de l’amour. Être là en famille sans crainte sans doute, quelle paix !
Cela se construit et se cueille, parfois après de long mois de patience et de persévérance.

1 Corinthiens 13 v 4 « L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est pas envieux; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, 5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, 6 il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; 7 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. »

Dieu, pardon pour mon manque d’amour, pardon pour mon égoïsme et mon orgueil, je te prie forme en moi l’amour véritable. Fait de nous une famille pleine d’amour. Amen

Jonathan Y.

Jésus frappe à ta porte

Texte écrit au début du confinement :
Je suis là, seule, dans ma maison, les jours se ressemblent. Plus de rire, plus de vie dans les rues, plus le cri des enfants, même plus le bruit des voitures. Plus la liberté de marcher dans les rues, ne plus s’approcher de nos concitoyens, plus de rencontre, plus de vie d’église, ça me manque. Tout semble s’être arrêté comme au temps des plaies d’Egypte à la mort des enfants premiers nés, où même un chien n’avait pas le droit d’aboyer, où la mort rode comme un lion rugissant pour voir qui elle pourra dévorer.

Mais je sais une chose, c’est que Jésus est là près de moi. Il me donne sa paix et son sang si précieux est appliqué sur moi comme un signe qui me protège. Le sang de l’innocent le tout puissant, qui est mort par amour pour le monde.

Mais le monde s’en souvient-il ? Cependant il reste là, comme quelqu’un qui frappe à la porte, pour nous apporter la guérison et les clés pour sortir de toutes nos prisons. Mais le monde le regarde avec dédain tel un représentant de pacotilles.

Tristement le représentant des cieux passe et s’éloigne, puisqu’on ne lui ouvre pas. Peut-être reviendra-t-il, oh je vous en supplie ouvrez lui, il vous aime tant. Demain, il sera peut-être trop tard. Oui tout s’arrête comme si il n’y avait plus de jours, comme si le temps s’était suspendu. La course folle de ce monde c’est arrêté, comme si Jésus voulait l’obliger à réfléchir avant son retour.

Véronique T.

Dieu est bon

Ps 37.4 « Fais de l’Eternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire »

Il y a environ 8000 promesses dans la Bible. Certaines inconditionnelles comme l’affirmation du retour de Jésus. Il a dit qu’il reviendrait et il reviendra. D’autres promesses pourraient être précédées de la conjonction SI. par exemple : « Si tu crois tu verras la gloire de Dieu ». Nous avons donc quelque chose à faire.

Dans le psaumes 37 v 4 Cette promesse particulière nous parle de notre priorité : Dieu.

Souvenons que les 4 premiers commandements donnés à Moïse concernent notre relation avec Dieu. De même, la prière que Jésus a enseigné à ses disciples commence par : « notre Père que ton nom soit sanctifié » avant de lui adresser des requêtes qui concernent nos relations entre humains ou nos besoins matériels et spirituels.

Cette priorité nous gardera de l’idolâtrie car même de bonnes choses peuvent devenir des idoles. Par exemple mes bonnes œuvres, et même mon service pour Dieu qui peuvent devenir de subtiles idoles.

Dieu nous veut pour lui et il veut nous faire du bien. Dans le livre du Deutéronome ch 29 et 30, Moïse expose les bons projets de bénédiction qu’il a sur son peuple et les invite à choisir la vie . Dieu désire le bien de son peuple.

1 Timothée 6.17 nous présente un Dieu  » qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions. « 

Dieu est bon, il veut bénir son peuple, mais il veut aussi te bénir toi son enfant, cette promesse est individuelle. Il veut tout ton cœur. C’est là son premier commandement. (Deutéronome 6.5). C’est là notre destinée à tous et notre bonheur.

Claude P.

L’amour n’a pas de fin

1 corinthiens 13 v 8 L’amour n’aura pas de fin. Les prophéties cesseront, les langues inconnues prendront fin, et la connaissance particulière cessera. 9 Notre connaissance est partielle, et partielles sont nos prophéties. 10 Mais le jour où la perfection apparaîtra, ce qui est partiel cessera. 11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais et je raisonnais en enfant. Une fois devenu homme, je me suis défait de ce qui est propre à l’enfant. 12 Aujourd’hui, certes, nous ne voyons que d’une manière indirecte, comme dans un miroir. Alors, nous verrons directement. Dans le temps présent, je connais d’une manière partielle, mais alors je connaîtrai comme Dieu me connaît.13 En somme, trois choses demeurent : la foi, l’espérance et l’amour, mais la plus grande d’entre elles, c’est l’amour.


Qu’est ce que l’amour ?


J’aime vraiment quand : je suis patient, je suis plein de bonté. Je ne suis pas envieux, je ne cherche pas à me faire valoir, je ne m’enfle pas d’orgueil.  Je ne fait rien d’inconvenant. Je ne cherche pas mon propre intérêt, je ne m’aigrit pas contre les autres, je ne trame pas le mal.  L’injustice m’attriste, la vérité me réjouit.  En toute occasion, je pardonne, je fais confiance, j’espère, je persévère.


Proverbes 13:24 Qui refuse de châtier son fils ne l’aime pas ; celui qui l’aime le corrigera de bonne heure.


Ephésiens 5:25 Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme le Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle


Ephésiens 5:28 Voilà comment chaque mari doit aimer sa femme comme si elle était son propre corps : ainsi celui qui aime sa femme s’aime lui-même.


1 Jean 5 v 1 Celui qui croit que Jésus est le Christ est né de Dieu. Et celui qui aime le Père, qui fait naître à la vie, aime aussi les enfants nés de lui. 2 Voici comment nous savons que nous aimons les enfants de Dieu : c’est lorsque nous aimons Dieu lui-même et que nous obéissons à ses commandements. 


Jean 14:21 Celui qui m’aime vraiment, c’est celui qui retient mes commandements et les applique. Mon Père aimera celui qui m’aime ; moi aussi, je lui témoignerai mon amour et je me ferai connaître à lui.

X